Everyone should know that Friday 13 means ” BAD LUCK “.
This date will forever be into French peoples memories as the day , France face her most cruel Terrorist attacks , in only 1 hour, six terrorist attacks
hit France capital, more than 150 people died and 200 casualties.
After #JE SUIS CHARLIE, now is time for #Pray for Paris.
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Après les attentats simultanés qui ont touché la capitale vendredi soir, la presse française souligne unanimement le carnage provoqué par ces attaques et appelle à faire front.
C’est avant tout l’horreur de la soirée de vendredi à Paris qui marque les unes de la presse française ce samedi matin, au lendemain d’attaques simultanées dans la capitale. 120 personnes sont mortes lors de plusieurs attentats et huit assaillants ont été tués. Souvent parés de noir, commeL’Equipe qui titre simplement “L’horreur”, les quotidiens s’attardent aussi sur la violence des attaques. “Carnages à Paris” souligne Libération, “La guerre en plein Paris” titre Le Figaro, sur fond noir, “Cette fois c’est la guerre” renchérit Le Parisien.
La Une de L’ÉQUIPE ce samedi 14 novembre.pic.twitter.com/bFMyB3oMYB
— L’ÉQUIPE (@lequipe) 14 Novembre 2015
La presse quotidienne régionale retient elle aussi le mot “horreur” pour ses couvertures, comme Nice-Matin et La Voix du Nord. “Paris en sang” titre La Charente libre, “Nuit sanglante dans les rues de Paris” évoque Le Courrier Picard, quand Sud Ouest insiste sur “L’Etat d’urgence”, décrété par François Hollande.
“L’horreur à Paris”, à la une de La Voix du Nord.pic.twitter.com/jcDAAWi9L4
— Cyril Petit (@CyrilPetit) 14 Novembre 2015
Côté éditos, Jean-Marie Montali du Parisien exprime “la colère et le dégoût”. “Voilà ce qu’inspirent les assassins qui, hier, ont frappé dans Paris avec la lâcheté habituelle des terroristes”, continue-t-il. Il appelle à l’unité: “Au nom des vrais martyrs d’hier, les victimes innocentes, et au nom de la République, la France saura rester unie et faire front”. Enfin, dans Ouest-France François Régis Hutin promet: “Nous saurons faire face”.
Par Mélanie Longuet